On avait évoqué, dans un précédent article, la Page Blanche de Pénélope Bagieu et le portrait décomposé-recomposé d’Éloïse Pinson en mal de souvenirs… On se penche aujourd’hui sur le botin mondain de la même auteure.
Et il y a du beau monde dans ses Culottées ! Des femmes remarquables, intelligentes, talentueuses à de multiples égards, de qui Pénélope Bagieu illustre le destin à coups de dessins.
Publiés sur le blog du Monde, ses billets sont à présent réunis en un volume, et bientôt deux, récemment sorti chez Gallimard.
On aime particulièrement le portrait de France Glessner Lee qui, de ses mains habiles, réécrit la lecture des scènes de crimes en miniaturisant celles-ci pour les étudiants légistes. Quand la dextérité côtoie la réflexion…
À elle, et à vous mesdames, je tire ma culotte!
Patron : Ottobre enfants du mois.
Chutes : Paapii (l’Autre Mercerie) et un anonyme du Marché aux tissus de Luxembourg.